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Peut-on être maire d'une petite ville où tout le monde se connaît, tout se sait, tout se chuchote, et se monter dans une tenue légère sur Internet? La réponse pour Madame Carmen Kontur-Gronquist, maire de Arlington dans l'Oregon aux États-Unis, est définitivement non. Cette jeune femme bien dans sa peau s'est affichée en sous-vêtement sur son site web devant un camion de pompier flambant neuf, elle a été démise de sa fonction de maire ! Les quelques 500 électeurs inscrits sur les listes électorales de sa commune ont voté à 142 voix pour sa destitution contre 139. Carmen Kontur-Gronquis avait beau argué que ces photos en soutien gorge noir et culotte convenable avait été prise pour servir dans un concours de fitness, rien n'y a fait, même pas le fait de dire qu'un ami à elle les avaient initialement postées sur MySpace dans l'espoir de lui trouver un mari. La publication de ces photos osées avait précédé son élection au poste de maire il y a trois ans. Un peu plus tard elle avait interdit l'accès libre à tout ceux qui passaient sur son site personnel, mais le mal était déjà fait. Carmen Kontur-Gronquis n'est plus maire et n'a pas trouvé de mari non plus. Dommage pour elle.

Nyotaimori, littéralement « repas sur le corps d'une femme », est un repas d'origine japonaise servi sur le corps d'une femme nue. Il est généralement composé de sushi et d'algues. Ce type de repas, hors de son contexte culturel d'origine au japon, sert uniquement à pimenter les soirées des bobos occidentaux blasés, en quête de nouveautés qui les sortiraient de leur léthargie et étonneraient leurs petits amis. Le Temple Restaurant à Minneapolis (Minnesota) aux États-Unis est un des derniers établissements à surfer sur cette mode comme nous le montre ce reportage de la chaîne de télévision WCCO. Bon appétit, pas vraiment.

Le string a encore de beaux jours devant lui. Pas le string qui dépasse, exprès, dans une sorte d'affirmation de soi et de sa féminité mais celui qu'on ne voit pas du tout. Ce string aussi grand qu'un timbre poste, ou presque, s'appelle le Strapless G String et vient d'être commercialisé aux États-unis par la société Shibue couture auprès des femmes qui détestent la marque du string sous leurs robes ultra moulantes. En fait, il s'agit d'une sorte de pansement adhésif hypoallergénique en forme d'Y qui coûte la modique somme de 32 dollars, soit l'équivalent de 21 de nos euros. On doit cette découverte au journaliste très sérieux de l'agence Reuters, Jill Serjeant, qui précise sur son blog que le G String existe en plusieurs couleurs du noir sensuel au rouge érotique. Sachez d'ailleurs que les Britanniques, elles, ont adopté auparavant et dans cette même démarche de miniaturisation de la culotte, le C-String (au même prix 16 £ = 21 €) qui tient en place autrement, grâce à une petite tige flexible, et qui rappelle en réalité le serre-tête des filles bien sages.

Les Américains parlent d'un phénomène, le Social Drinking, qui frappe parmi les femmes plus particulièrement celles qui sont titulaires d'un diplôme supérieur. Elles seraient plus fréquemment ivres que les autres, alors que l'on n'observe pas ce phénomène chez les hommes. Allez comprendre pourquoi? C'est ce que révélait aussi l'Insee dans une de ses récentes études, «Regards sur la parité». L'élévation dans l'échelle sociale s'accompagne notamment, chez les femmes, d'une augmentation de la consommation régulière d'alcool, au contraire des hommes, constatent les statisticiens. L'étude précise ainsi que plus le niveau de diplôme et la catégorie sociale sont élevés, plus la consommation régulière d'alcool chez les hommes et les femmes se rapproche : les hommes boivent de moins en moins et les femmes augmentent leur consommation régulière. Ce constat recoupe les recherches du professeur Jenny Head, de l'University College London, qui a effectué une étude sur l'alcool chez les femmes. "Nous n'avons pas été capables de trouver une explication à ce phénomène de consommation élevée d'alcool chez les femmes les plus cultivées", déclara-t-il récemment. "Une des raisons possibles serait la dose d'alcool contre la dose de stress chez ces femmes actives". Le Pr. Head estime que "le fait que les femmes cultivées, ou qui occupent des postes de responsabilités, évoluent dans un univers d'hommes leur fait croire qu'elles doivent adopter quelques uns de leurs comportements et coutumes, comme s'envoyer un verre de temps en temps derrière la cravate". "Mais c'est juste une hypothèse", s'empressa-t-il de préciser.

Cinq mille jeunes hommes ont postulé pour rencontrer des femmes matures gagnant plus d'un demi million de dollars par an et ayant au moins 4 millions de dollars à la banque. Ça se passe à New York où une agence matrimoniale n'a pas hésité à afficher l'argent comme critère de choix pour attirer des hommes de moins de 35 ans, condition obligatoire, dans les bras de femmes mûres qui cherchent l'âme soeur. Pocket Change, c'est le nom de cette agence matrimoniale un peu spéciale, édite une lettre d'information hebdomadaire sur Internet qui recense les services et les produits les plus chers de New York. «Je pense que c'est un fantasme pour beaucoup d'hommes de rencontrer une femme plus mûre et de se marier avec elle», estime Jeremy Abelson, 26 ans, président de Pocket Change. «Lors de la première soirée speed dating pour hommes riches que nous avions organisé, nous en avons eu plusieurs qui valaient plus de 100 millions de dollars et les jeunes femmes étaient aussi la crème de la crème», assure-t-il. Cette fois-ci, égalité des sexe oblige, ce sont les femmes qui sont riches et les hommes jeunes et beaux. Aux États-unis, on appelle les premières les sugar mama ou cougar, terme qui désigne une femme mature qui entretient généreusement

La video des 3 filles nues dans Paris prélude la sortie de la chanson Baby, Baby, Baby du groupe Make The Girl Dance, le 1er juin prochain. Et les trois filles nues cartonnent évidemment. Le concept du clip est simple : trois jeunes femmes nues se relaient dans une des rues les plus achalandées de Paris, la rue Montorgueil. On doit cette oeuvre indépassable à Pierre Mathieu, l'ancien animateur du « Morning » de M 6 et du « Hit Machine », avec son groupe Make The Girl Dance. Les sites internationaux n'ont pas fini de diffuser cette vidéo « girls nude in Paris ». Le succès est assuré! Sauf qu'il s'agit d'une idée piquée à un autre artiste anglais, Norman Cook, alias Fatboy Slim, qui a été le premier avec son groupe du Brighton Port Authority (BPA) à jouer dans une vidéo sur le registre des bandes noires qui cachent ce qu'il est peu habituel de voir en public. A titre perso, je préfère ce qu'a fait l'artiste anglais. Beaucoup plus fin et subtil. Surtout, une musique largement supérieure !

Des talons aiguilles hauts de 9 cm et plus, c'est la condition sine qua non pour participer à la «Stiletto Run» d'Amsterdam. Cette «course en talons aiguilles», qui se dispute sur une parcours de 350 mètres dans l'artère d'Amsterdam la plus réputée pour ses boutiques de mode, existe depuis trois ans mais son succès est tel qu'elle a engendré des copies conformes en Allemagne, Suède, Pologne ou encore en Russie. La manifestation a pour slogan «le shopping est un sport» et attire les foudres des féministes tant elle est caricaturale: une femme c'est un machin perché sur des talons aiguilles et qui ne pense qu'à faire du shopping. En attendant, la lauréate du Stilleto Run d'Amsterdam empoche chaque fois une récompense de 7000 euros. Et, généralement aucune n'avoue vouloir en dépenser un seul pour acheter des talons aiguilles.

Les hôtesses se mettent nues pour promouvoir leur compagnie. C'est la nouvelle campagne de publicité lancée par la compagnie aérienne Air New Zealand à laquelle ont été associés les pilotes de ligne, le personnel de cabine ainsi que le PDG lui-même, Rob Fyfe. Avec les hôtesses nues, tout le monde s'est mis dans le plus simple appareil... couvert seulement de body painting. Et c'est là l'astuce de cette pub dont le slogan est: "Air New Zealand, avec nos prix, rien à cacher". Une campagne qui s'inscrit dans la lutte acharnée que mènent actuellement toutes les compagnies aériennes pour attirer les voyageurs, coûte que coûte. "J'ai aimé un homme qui portait un uniforme", conclut une femme à la fin du spot pour jouer encore une fois sur la supposée et la soi-disant irrésistible attirance que l'homme en uniforme provoque chez les femmes.

Les annales de la justice japonaise contiennent la preuve d’innocence la plus inattendue de mémoire de juriste et qui a blanchi une jeune femme d'un délit qu'elle n'a pas commis. Puisqu'elle a de très gros seins, écrivent ainsi les juges de La Haute cour de justice de Tokyo, Serena Kozakura, mannequin très connue au Japon notamment pour ses photos en maillot de bain bien rempli, ne pouvait pas traverser l'ouverture par là où son accusateur avait prétendu qu'elle était passée pour l'agresser. Cela parait un peu confus à première vue, mais grâce à la télévision Serena Kozakura a pu reconstituer de nouveau la scène du délit dont elle fut accusé à tord devant des millions de téléspectateurs prouvant encore et encore que ses 110 cm de tour de poitrine l'empêchait de s'introduire à travers une ouverture de 72 x 24 cm. Serena Kozakura, 38 ans, avait été reconnue coupable de destruction de propriété privée, après qu'un homme l'eut accusé d'avoir défoncé la porte de son studio à coups de pied et s'être ensuite introduite chez lui, apparemment parce qu'il était avec une autre femme. Grâce à ses mensurations et à la perspicacité des juges japonais, qui ont suivi avec une attention toute particulière la démonstration (reproduite ici en vidéo), Serena Kozakura a échappé à la prison

Les infirmières britanniques ont soulevé une tempête après qu'un sondage eut révélé récemment qu'une bonne partie d'entre elles estiment qu'avoir une relation avec un patient "ne pose pas vraiment problème". Presque une infirmière sur 10 trouve ainsi qu'entamer une histoire sentimentale avec un malade n'a rien de choquant alors qu'une sur six avoue connaître le cas d'une collègue qui a eu une relation avec un patient dont elle avait la charge. En Grande-Bretagne, les nurses peuvent faire l'objet de sanctions disciplinaires, y compris le licenciement sec, si elles sont prises sur le fait dans une relation sentimentale poussée avec un patient. Le Royal College of Nursing, organisme représentatif des blouses blanches, a jugé "préoccupant" le résultat de ce sondage mené auprès de 3600 infirmières et publié par le magazine The Nursing Times. Son secrétaire général, le docteur Peter Carter, a déclaré au Sunday Times qu'une relation d'une infirmière avec un patient est une "faute impardonnable". Toutefois, il a consenti qu'une relation avec un "ancien" patient peut être admise. Une chose est sûre, les infirmières britanniques semblent moins sacraliser leur métier avec l'exemple notamment dans de cette vidéo qui promeut de la publication d'un calendrier d'infirmières britanniques, dont les bénéfices sont réservés chaque année à une oeuvre humanitaire.